Lire la ville comme on lirait dans les lignes de la main. Regarder de plus près pour mieux s’imprégner de sa cartographie imaginaire. Paysage lunaire d’où jaillit une attraction sans frontières. Motifs et formes se jouent de l’action de passer. La ville suinte de ses entrailles. Une œuvre trouvée, un paysage esthétique révélé. Moisissures, suintements s’amalgament en un véritable tableau vivant en perpétuel mouvement.
« Ici et maintenant le monde est encore plein d’images latentes disséminées dans notre entourage immédiat à la manière des « vivants piliers » baudelairiens d’où « sourdent de confuses paroles ».